Soumission D’Une Femme Mariée

Soumission d’une femme mariée.

Tout changea après dix ans de mariage. Jusque-là, Laurence, une belle brune de 35 ans et son mari Fabien de 4 ans son ainé vivaient une vie sans histoire agrémentée d'une vie sexuelle tout à fait commune. Vint alors ce fameux soir d'été où leur vie entière bascula, alors que le couple dinait à la terrasse d'un restaurant du centre-ville.

- Bon anniversaire, chéri, dit Laurence en tendant un petit paquet à son mari.
- Merci mon amour, qu'est-ce que c'est ?
- Ouvre, tu verras.

Fabien découvrit une montre à la mode en plastique blanc.

- Ça fait longtemps qu’on n’est pas allés au resto tous les deux en amoureux, continua-t-elle. J'ai bien fait de laisser les s à ma mère pour ton anniversaire, tu ne trouves pas ?
- Oui, ça fait du bien.
- Elle te plait la montre ?
- Ouais, super, dit-il en tendant le poignet à sa femme.
- J'ai pris une blanche mais on peut changer si tu veux.
- Non, c'est bien en blanc.
- Et comme c'est ton anniversaire, ce soir... je vais m'occuper de toi, dit-elle avec un regard malicieux.

Fabien resta songeur quelques instants.

- J’ai le droit à quelque chose de particulier ce soir ?
- Qu’est-ce qui te ferait plaisir mon amour.
- J’ai envie de quelque chose de spécial.
- Oui, mon chéri, on rentre à la maison et je suis toute à toi.
- Moi je pensais dès maintenant.
- Mais...c'est-à-dire ?
- J’ai envie qu’on joue à un jeu tous les deux.
- Un jeu ?
- J’aimerai que ma femme joue un rôle ce soir.
- Quel rôle ?
- Le rôle d’esclave sexuelle, le rôle d’une femme soumise à son maître.
- C’est quoi cette idée ?, répondit Laurence.
- Disons que c’est un jeu pour mettre un peu de piment dans notre couple. Es-tu prête à jouer avec moi ?
- C’est…étrange…mais oui, pourquoi pas, je veux bien essayer.
- Avant tout, tu dois accepter de faire tout ce que je vais te demander sans discuter.


- C’est quoi tout ?
- Tu verras, si je te le dis maintenant, ça n’a plus d’intérêt. Alors, tu acceptes ?
- Je dois faire tout ce que tu dis, c’est ça ?
- Oui, sans discuter.

Laurence hésita quelques instants.

- Vas-y, dit-elle, commence.
- Tu vas aller aux toilettes, enlever ta culotte et me la ramener.
- Quoi ? ça va pas non ? Ma robe est trop courte ! On va voir mes fesses.
- C’est comme ça que tu exécutes sans discuter ? Justement, c'est ce que je veux, qu’on voit ton cul. Ça m'excite rien que d'y penser.

Laurence leva les yeux au ciel un moment et se leva de sa chaise sans un mot avant de se diriger vers les toilettes. Fabien vit sa femme y entrer puis ressortir quelques instants plus tard.

- Tiens, la voilà !, dit-elle, en tendant la culotte de lingerie fine à son mari.
- Merci chérie, dit-il en portant le sous-vêtement à ses narines.
- Arrête ça ! range là dans ta poche tout de suite !
- Tais-toi ! Je t’ai déjà dit, c’est moi qui décide de tout ce soir.
- Mais on nous regarde, dit Laurence, rouge de honte.
- Elle sent bien la chatte cette culotte, je crois que ça te fais mouiller ce petit jeu ma cochonne, hein ?

Laurence n’osait pas répondre.

- Montre-moi ta chatte, chérie, dit Fabien en se penchant sous la table

Laurence hésita, puis remonta un peu sa jupe et écarta légèrement les jambes.

- Oh la cochonne, elle n’a pas de culotte !
- Chut ! Tais-toi!, souffla-t-elle. Les gens t'entendent.
- Tu vas la fermer maintenant, c’est la dernière fois que je te le dis. Je fais et je dis ce que je veux, t’as compris ?
- Oui…oui, j’ai compris.
- Bien, maintenant écarte bien les jambes pour bien montrer ta chatte aux tables derrière moi.

Laurence écarta encore plus les jambes. Fabien regarda lentement autour de lui, d'un côté puis de l'autre, dans une posture moqueuse et avec un petit sourire aux lèvres.
Il s'arrêta quelques secondes sur un homme seul, derrière lui, qui semblait observer la scène et qui sembla gêné d'avoir été repéré. Il se pencha légèrement vers sa femme et chuchota.

- T’as vu ? Y a un mec derrière qui te mate.

Laurence ferma les cuisses immédiatement.

- Quoi ? Non, c’est pas vrai.
- Il t'a vu me donner ta culotte et il a tout compris à mon avis.
- Mais non, il a rien vu.

Fabien jeta un œil en arrière et reprit:

- C'est sûr qu'il te mate, je te dis. Ecarte les jambes et montre lui ta belle petite chatte toute épilée.
- Mais…
- Tut tut ! Qu’est-ce qu’on a dit ? Pas de discussion.

Laurence écarta les jambes, à contrecœur, sans porter le moindre regard à son admirateur.

- Il te mate, hein ?
- Je ne sais pas, j'ose pas regarder.

Fabien sortit son smartphone et observa discrètement derrière lui à l'aide de la caméra frontale

- Putain, le salaud ! Comment il te mate la moule !
- Et ça te plait ça ? Je ne pensais pas que tu aimerais me voir m'exhiber comme cela.
- Non seulement j'aime ça, mais je veux que ça aille encore plus loin si tu veux savoir.
- C'est-à-dire?
- Il te plait pas ce mec?
- Non...enfin si, il est pas mal.
- Alors tu vas le cajoler un peu pour me faire plaisir.
- Qu'est-ce que tu veux dire?
- Tu lui fais plaisir et moi tu me donnes du plaisir en même temps.
- Mais...j’oserai jamais l'aborder...et puis d'abord...
- Ça, je m'en occupe, laisse-moi faire.

Fabien se leva et se dirigea vers l'individu. Laurence observa les deux hommes discuter pendant quelques minutes puis Fabien revint à sa place.

- Mais...qu'est-ce que tu lui as dit ?
- Je lui ai dit que ma femme le trouvait séduisant et qu'elle aimerait bien lui tailler une pipe.
- Quoi !, tu plaisantes ?
- Pas du tout.
- Je ne te crois pas

Laurence vit l'homme se lever et se diriger vers les toilettes.


- Allez ! Vas le rejoindre et suce le.
- T’es sérieux ? C'est vraiment ce que tu veux ? Dis Laurence complètement paniquée.
- Oui, allez ! dépêche-toi.

Laurence ne réalisait toujours pas. Pendant plusieurs secondes, elle resta prostrée sur sa chaise, ne comprenant pas la situation. Finalement, elle se leva, tremblante, et se dirigea vers les toilettes.
Une vingtaine de minutes plus tard, L’homme réapparu, suivit quelques secondes plus tard de Laurence qui revint s'assoir sous le regard de Fabien.

- Alors ? dit Fabien.
- Alors quoi ? Répondit Laurence.
- Tu l'as sucé ?
- Oui.
- Et ?
- Et quoi ?
- Comment c'était ?

Laurence souffla d'énervement.

- Ça ne te suffit pas que je te trompe, il faut que tu connaisses les détails ?
- Tu ne me trompe pas, tu fais juste ce que je te demande,. Et évidemment que je veux connaitre les détails, sinon quel intérêt ?
- Et bien je suis entrée dans les toilettes des hommes. Il m'attendait. Je lui ai dit que je venais pour ce qu'avait dit mon mari. On est entré dans une cabine de WC. Il m'a fait asseoir sur les toilettes. Il était debout devant moi. Il a baissé son pantalon et son slip. Je l'ai sucé. Voilà, content ?
- Jusqu'au bout ?
- Oui, jusqu’au bout.
- Et t’as avalé ?
- Il m'a dit que tu lui avais affirmé que je voulais avaler. Alors j'ai avalé.
- Ça t’a excité ? Tu mouillais quand t’avais sa bite dans la bouche ?
- Ça te plairait que je dise oui ?
- bien sûr !
- Alors oui, j’ai mouillé comme une folle…et toi, tu prends ton pied ?
- Oui, ma femme qui suce des bites dans les toilettes de hommes, ça me fais mouiller dans mon slip si tu veux savoir.
- Ok, c'est fini ? On rentre à la maison ?
- Surement pas, c’était qu'une mise en bouche. On va se trouver un coin tranquille pour la suite maintenant.
- Quelle suite ? C'est quoi la suite ?
- Tu verras, tu vas aimer ma cochonne.

- Donne-moi ma culotte s'il te plait.
- Pas question, plus de culotte pour ce soir. Vas dans la voiture et attends-moi, je vais payer l'addition.

Quelques minutes plus tard, Fabien roulait sur une départementale qui les menait à leur village situé à une vingtaine de kilomètre du centre-ville. Laurence, sur le siège passager, était silencieuse.

- Mets-toi à poil chérie, dit Fabien
- Quoi ?
- Je te dis de te foutre à poil. Complètement. Personne ne te verra dans la voiture, il fait nuit et il n’y a personne sur la route.
- Pourquoi ?
- Ne discute pas et fais ce que je te dis. Allez, dépêche-toi, les chaussures aussi.

Laurence se déshabilla et se retrouva rapidement totalement nue.

- Voilà, c'est bien ça. Ecarte bien les cuisses et branle-toi la chatte maintenant.

Laurence inséra un doigt dans son vagin et commença un va et viens timide.

- Branle-toi comme une vraie pute !, hurla Fabien. Mets-y trois doigts et branle à fond.

Laurence s'exécuta.

- Voilà, c’est mieux. T'es ma salope pour ce soir, pour mon anniversaire. Et je veux que ma salope se prenne des bites dans tous les trous ce soir.

Laurence se sentait à la fois honteuse et excitée par la situation et par le ton grossier de son mari.

- Je vais te trouver de bonnes grosses bites, chérie. Tu vas te régaler. Tiens regarde là-bas, un restaurant de routier. Je vais aller voir, tu vas attendre dans la voiture.

Fabien se gara sur le parking du restaurant. Laurence, fébrile d’excitation et d’appréhension, le vit se diriger vers l'établissement. Quelques minutes plus tard, Fabien revint à la voiture.

- Qu'est ce qui se passe, dit Laurence.
- Rien, on attend un peu, c'est tout

Quelques instants après, trois hommes sortirent du restaurant et montèrent dans un des camions stationnés sur le parking.

- Voilà chérie, dit Fabien, il y a trois gars qui t’attendent dans le camion pour te baiser, allez dépêche-toi, t’as vingt minutes.

Laurence hésita, silencieuse, les yeux rivés sur le camion

- Allez magne-toi, tu vas pas les faire attendre en plus.

Laurence ouvrit la portière et se dirigea totalement nue vers le camion. La porte de la cabine s'ouvrit et Fabien vit sa femme hésiter un instant avant de grimper à l’intérieur. Environ vingt minutes plus tard, Laurence revint à la voiture et cogna à la vitre. Fabien ouvrit la portière et Laurence reprit sa place avant que Fabien ne redémarre.

- Alors ?, dit Fabien. Tu t'es bien fait baiser ?
- Oui
- T'aurais pu t'essuyer la bouche au moins ma salope, t’as encore plein de sperme autour des lèvres.
- Désolée, dit-elle en cherchant un Kleenex dans la boite à gants.
- Dans le resto, j'ai demandé trois volontaires avec des grosses bites. Elles étaient grosses?
- Oui.
- Je leur ai dit de t’enculer à tour de rôle, ils l’ont fait ?
- Je les ai sucés d’abord et ils m’ont enculée après.
- Ensuite ?
- Ensuite, ils m’ont prise à trois en échangeant leur place de temps en temps.
- Une bite dans le cul, une bite dans la chatte et une bite dans la bouche ?
- Oui.
- Et à la fin, ils se sont vidés les couilles dans ta bouche ?
- Oui, et j’ai avalé tout le sperme, comme tu le voulais ?
- Tu commences à aimer ça, le sperme, hein ma salope ?
- Oui chéri.
- Je vais t’en trouver encore un peu pour ce soir, tu veux ?
- Oui, je veux bien, répondit Laurence sur un ton résigné.

Fabien reprit la route en direction du domicile familial. Après quelques kilomètres, il aperçut deux autostoppeurs sur le bord de la route. Fabien s’arrêta à leur niveau et demanda à sa femme de baisser la vitre. A la vue de la femme nue dans la voiture, les deux hommes eurent un moment d’hésitation.

- Vous allez où ?, demanda Fabien.
- Euh…on part en vacances dans le sud, c’est votre direction ?
- Je ne peux pas vous amener bien loin, j’habite à côté. Mais je peux vous proposer de vous amener dans un coin tranquille pour baiser ma femme. C’est une bonne salope, je vous promets.

Les deux hommes se fixèrent avec surprise puis l’un deux répondit.

- Euh…oui, d’accord.
- Et bien en voiture, Messieurs.

Une fois les sacs à dos rangés dans le coffre et les deux hommes installés à l’arrière, Fabien démarra et s’adressa immédiatement à Laurence.

- Chérie, je vais trouver un coin tranquille. En attendant, tu passes à l’arrière et tu leur pompe la bite pour les mettre en condition.

Laurence défit sa ceinture et passa à l’arrière.

- Et n’oublie pas de lécher les couilles de temps en temps, comme toute bonne suceuse digne de ce nom.
- Oui chéri.

Les deux hommes avaient ouvert leur braguette et sorti leur sexe que Laurence, assise au centre, tenait dans chacune de ses mains. Elle entreprît tout d’abord de les masturber pour leur faire prendre de la vigueur puis les prit dans sa bouche en passant alternativement de l’un à l’autre.

- Qu’est-ce que vous en pensez ? Elle suce bien ma femme ? dit Fabien.
- Oh oui Monsieur !, dit l’un des deux en voyant son membre disparaitre au fond de la gorge de Laurence. C’est une sacrée bonne suceuse de bites.
- Et elle boit tout le jus en plus, continua Fabien.
- Je le crois pas, dit le second que Laurence venait de prendre en bouche.
- Attends tout à l’heure, mon gars, dit Fabien. Tous les trois, on va lui remplir la bouche de jute et elle va tout avaler.
- Ok, j’ai hâte de voir ça.
- Mais d’abord, on va s’arrêter quelque part et on va l’enculer, elle aime ça aussi, reprit Fabien.

Fabien avait pris un petit chemin de terre perpendiculaire à la route et s’arrêta après quelques centaines de mètres.

- Voilà, dit-il. C’est parfait ici. On va pouvoir te ramoner le cul ma chérie, t’es prête ?
- Oui.
- Allez les gars, tous à poil maintenant.
- J’ai une couverture dans mon sac à dos, dit l’un des hommes. Vous voulez que je la sorte ?
- Très bonne idée, dit Fabien. On va pouvoir s’installer sur l’herbe.

Tout le monde se déshabilla et s’installa au clair de lune dans le champ adjacent. Laurence était assise sur son mari, un homme derrière elle dans son anus et l’autre homme devant elle, dans sa bouche. Fabien s’adressa à l’homme qui la sodomisait.

- Comment tu te sens dans le cul de ma femme ?
- C’est bon, pas trop serré, juste ce qu’il faut.
- Elle vient de se faire ramoner le cul par trois camionneurs. Son trou de balle devrait être bien ouvert, non ?
- Oui, c’est vrai, ça glisse bien.
- Bouge plus, on va essayer d’y mettre deux bites.
- Ok, allez-y, je bouge plus.
- Regarde ma chérie, deux bites ça rentre tout seul tellement t’as le trou du cul dilaté.
- C’est la première fois qu’elle en prend deux dans le cul votre femme ?
- Oui, ça c’est la première fois…et pas la dernière, je pense.
- En tout cas, félicitations, c’est une bonne chienne, elle aime la bite.
- Oui, et je dois dire que c’est une petite surprise pour moi aussi.
- En tout cas, merci de nous en faire profiter, c’est très sympa de votre part.
- Allez, ma salope, tu sens comme on te défonce bien le cul, dit Fabien ?
- Elle ne peut pas répondre votre femme. Elle a la bite de mon pote toute entière dans la bouche. Il doit lui chatouiller les amygdales là.
- D’ailleurs, je vais pas tarder à lui gicler dans la gorge à votre femme, répondit le concerné.
- Vas-y mon gars, te gêne pas pour ça. Envoie-lui la purée dans la bouche si tu veux, dit Fabien.
- Ça vient, ça vient, oui, ça vient…aaaaaaaaahh, putain la salope ! Avale, allez avale tout mon sperme espèce de pute. Voilà, c’est bien, nettoie moi la bite avec ta langue maintenant. Oui, comme ça, lèche là bien qu’elle soit bien propre.
- Nous aussi on arrive bientôt dans ta bouche, chérie, dit Fabien. On va-t’en faire boire du foutre, tu vas voir.
- Oui chéri, donnez-moi du sperme, j’en veux encore, répondit Laurence.

Fabien et le deuxième homme se mirent debout autour de Laurence agenouillée sur le sol.

- Allez ouvre grand ta bouche, dit Fabien. On va te la remplir de bonne jute bien chaude et bien épaisse.

Laurence s’exécuta et les deux hommes éjaculèrent quasiment en même temps dans la bouche de Laurence qui avala presque instantanément.

- Voilà, c’est bien ma chérie. Tu nous as bien vidé les burnes, ça fait du bien. Nettoie nos queues avec ta bouche maintenant…voilà comme ça…c’est bien…avale bien tout le sperme qui reste.
- Oui Madame, c’est vrai, dit l’homme dont Laurence léchait le sexe encore dressé. On s’était jamais occupé aussi bien de ma bite.
- Pareil pour moi, dit l’autre. Jamais vu une salope comme vous.
- Allez les gars, dit Fabien. Il est temps pour vous de reprendre la route. Moi, c’est mon anniversaire alors je vais rester ici à me faire sucer et à enculer ma femme bien à fond.
- Ok Monsieur. Merci encore Madame pour votre hospitalité.
- Au revoir, répondit Laurence et bonne route.

Laurence regarda les deux hommes s’éloigner et se retourna vers son mari.

- Bon anniversaire chéri, dit-elle en le prenant son mari dans ses bras.
- Merci chérie, répondit Fabien en embrassant sa femme tendrement. C’est un beau cadeau d’anniversaire que tu viens de me faire là.
- Mais tu n’as pas encore reçu tous tes cadeaux mon amour, la soirée n’est pas terminée. Allez, en voiture…

Fin.

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